Son Histoire
Dans les années 80, des découvertes archéologiques dans la province du Henan en Chine ont montré que le baijiu était déjà produit dès les 7000 ans à 5800 avant J.-C. Les premiers baijiu étaient alors fabriqués à partir de mélanges de raisins, d’aubépine de miel et de riz.
Dans les ouvrages classiques de Confucius, la consommation d’alcool est qualifié comme étant un moyen de communication avec le monde spirituel et religieux. Ainsi, l’alcool était un une partie indispensable lors des cérémonies et des banquets d’État dans la Chine antique.
La première étape de la culture chinoise de l’alcool a commencé avec l’invention du Qu sous la dynastie des Han (206 av J.-C. - 220 ap J.-C.). Ce dernier est un ingrédient indispensable et joue un rôle similaire à la levure dans le brassage de l’alcool en occident. En effet, lorsqu’il est mélangé aux céréales et aux grains, il transforme l’amidon présent en sucre, puis le sucre en alcool.
La deuxième étape a été l’invention du processus de distillation. Les chinois ont combinés les techniques étrangères, apprises grâce au commerce avec le Moyen-Orient, aux méthodes traditionnelles chinoises. C’est ainsi que le baijiu a vu le jour.
À l’époque, le baijiu était populaire auprès des agriculteurs et des travailleurs, tandis que le Huangjiu (vin de riz jaune) était celui préféré et consommé par les classes supérieures. Au fil du temps, chaque région a développé ses propres styles et variétés de baijiu. Presque chaque village même a développé ses propres recettes et ses propres techniques de production qui se sont transmises de génération en génération.
Ainsi, plusieurs disparités existent pour le baijiu : dans le sud-est de la Chine, le baijiu a pris une forme plus légère. Dans le reste du pays, le baijiu continue à être produit à partir de sorghos et de millets. Dans le sud-ouest, le mil est fermenté dans des fosses en terre tandis qu’au nord-est il est fermenté dans des pots en argile. Après la fin de la dynastie des Qing (1644-1911) et le début de la Chine moderne, le baijiu a été modernisé par l’État et ce notamment dans son processus de fabrication et de production, qui se sont affinés davantage. Le baijiu est ainsi devenu l’alcool national chinois, signe de qualité et de luxe.
Des remerciements spéciaux à Derek Sandhaus, auteur de « Baijiu : The Essential Guide to Chinese Spirits », le premier ouvrage en anglais sur l’histoire du baijiu. Certaines des informations ci-dessus ont été tiré de ce travail.
Dans les ouvrages classiques de Confucius, la consommation d’alcool est qualifié comme étant un moyen de communication avec le monde spirituel et religieux. Ainsi, l’alcool était un une partie indispensable lors des cérémonies et des banquets d’État dans la Chine antique.
La première étape de la culture chinoise de l’alcool a commencé avec l’invention du Qu sous la dynastie des Han (206 av J.-C. - 220 ap J.-C.). Ce dernier est un ingrédient indispensable et joue un rôle similaire à la levure dans le brassage de l’alcool en occident. En effet, lorsqu’il est mélangé aux céréales et aux grains, il transforme l’amidon présent en sucre, puis le sucre en alcool.
La deuxième étape a été l’invention du processus de distillation. Les chinois ont combinés les techniques étrangères, apprises grâce au commerce avec le Moyen-Orient, aux méthodes traditionnelles chinoises. C’est ainsi que le baijiu a vu le jour.
À l’époque, le baijiu était populaire auprès des agriculteurs et des travailleurs, tandis que le Huangjiu (vin de riz jaune) était celui préféré et consommé par les classes supérieures. Au fil du temps, chaque région a développé ses propres styles et variétés de baijiu. Presque chaque village même a développé ses propres recettes et ses propres techniques de production qui se sont transmises de génération en génération.
Ainsi, plusieurs disparités existent pour le baijiu : dans le sud-est de la Chine, le baijiu a pris une forme plus légère. Dans le reste du pays, le baijiu continue à être produit à partir de sorghos et de millets. Dans le sud-ouest, le mil est fermenté dans des fosses en terre tandis qu’au nord-est il est fermenté dans des pots en argile. Après la fin de la dynastie des Qing (1644-1911) et le début de la Chine moderne, le baijiu a été modernisé par l’État et ce notamment dans son processus de fabrication et de production, qui se sont affinés davantage. Le baijiu est ainsi devenu l’alcool national chinois, signe de qualité et de luxe.
Des remerciements spéciaux à Derek Sandhaus, auteur de « Baijiu : The Essential Guide to Chinese Spirits », le premier ouvrage en anglais sur l’histoire du baijiu. Certaines des informations ci-dessus ont été tiré de ce travail.